lundi 20 juillet 2015
Jonathan et
Steven Oligny ainsi que Dave
Starenky de retour à Laval
La
direction des Prédateurs de
Laval en est venue à des
ententes avec Steven Oligny,
Jonathan Oligny ainsi que Dave
Starenky.
Les
trois joueurs portaient
l’uniforme des Prédateurs la
saison dernière et ils ont
apposé leur signature à une
prolongation de contrat avec
l’équipe.
Steven Oligny, 25
ans, avait disputé 15 rencontres
avant de subir une blessure qui
avait mis fin abruptement à sa
saison. L’ailier gauche mesurant
6’1, qualifié de travailleur
infatigable, est un produit des
Maroons de Lachine dans la
LHJAAAQ. Avant qu’il ne subisse
sa
blessure, le jeune joueur avait
fait preuve de fougue et
détermination et avait constitué
une très agréable surprise pour
les partisans lavallois.
Son frère cadet, Jonathan,
âgé de 23 ans, un ancien
défenseur des Voltigeurs de
Drummondville et des Screaming
Eagles du Cap Breton,
patrouillait quant à lui la
ligne bleue des Lavallois la
saison dernière. Celui que l’on
désigne comme un défenseur
défensif fiable a également jeté
les gants à 7 reprises la saison
dernière. Travailleur honnête,
il avait effectué tout un boulot
la saison dernière pour les
Prédateurs.
Arrivé
en milieu de saison, Dave
Starenky avait
immédiatement créé un impact
chez les Prédateurs. À 6’3,
Starenky fait osciller la
balance à 230 livres. En 18
joutes la saison dernière, il
avait livré 13 duels face aux
McMorrow, Bellemare, Hand,
Frechette, Roch et cie. Natif de
l’Alberta, le colosse était
passé par Québec, Gatineau,
St-John et Rouyn Noranda dans la
LHJMQ.
Lors d’un passage dans la LNAH
avec St-Georges, il avait jeté
les gants 69 fois en quatre
saisons. Évoluant principalement
à la position de défenseur,
Starenky ne déteste pas appuyer
l’attaque des siens quand
l’occasion s’y prête. Fougueux,
son style de jeu n’était pas
tombé inaperçu dans le cœur des
partisans.
La direction des Prédateurs est
fière de pouvoir compter sur les
services de ces joueurs qui se
sont donné cœur et âme la saison
dernière à la cause de l’équipe.
Nicolas Pelletier |