dimanche 11 décembre 2016
Les Marquis
maîtres chez eux
C’est samedi
soir, au Palais des sports que
les Marquis accueillaient les
Éperviers de Sorel qui étaient
venus le week-end précédent.
C’est par la marque de 5 à 3 que
la troupe de Richard Martel a
vaincu les Sorelois pour une
troisième fois à la maison.
Benoit Gratton purgeait son
deuxième et dernier match de
suspension et Cédrick Desjardins
se trouvait devant le filet.
Malgré la domination des Marquis
au chapitre des tirs au but lors
du premier vingt, aucun but n’a
été marqué. La rivalité se
faisait voir entre les deux
formations alors qu’il y avait
beaucoup d’électricité dans
l’air. Ce sont 22 tirs qui ont
été dirigés vers le gardien
Karel St-Laurent qui a effectué
un travail parfait en première
période. Cédrick Desjardins
fermait également la porte aux
Sorelois à 11 reprises.
Louis Mandeville ouvrait
rapidement la marque en deuxième
période alors qu’il profitait
d’un avantage numérique. Hubert
Poulin et David Lacroix jetaient
les gants pour une troisième
fois puisque les deux premières
prises n’avaient pas été
concluante.
Après un travail
ardu des Jonquiérois, c’est
finalement Alexandre Quesnel qui
trouvait le fond du filet, en
supériorité, assisté de
Jean-Michel Bolduc et de Michael
Novosad. Avec un peu plus de 5
minutes à faire au deuxième
engagement, Antony Courcelles
redonnait l’avance aux siens
alors que les Marquis se
trouvaient avec un joueur en
moins.
Au dernier tiers, l’attaque des
Marquis semblait finalement
donner un résultat. Trois buts
ont été marqués en moins de 5
minutes. Alexandre Quesnel
enfilait son deuxième du match,
aidé de Simon Tremblay. Peu de
temps après, Christian Ouellet
faisait vibrer les cordes à deux
reprises et doublait l’avance
des siens. Vincent Couture
réduisait l’écart en avantage
numérique, mais Alexandre
Quesnel venait inscrire un tour
du chapeau à sa fiche
personnelle.
Les Marquis ont remporté le
match par la marque de 5 à 3 et
sont donc toujours invaincus à
domicile.
« C’était tout un spectacle, il
y avait beaucoup d’électricité.
On a dominé la première, on a eu
des bonnes chances de marquer,
mais on n’a pas marqué.
Habituellement quand tu ne
marques pas, ça vient dangereux
en deuxième période et c’est ce
qu’on a vu. Je commence à bien
connaître l’équipe et ils me
connaissent mieux aussi. Ils
m’emballent jusqu’à présent.
J’étais vraiment fier du
revirement, mes bras sont partis
tout seul! »,
mentionnait Richard Martel.
Carol-Ann
Faubert |