jeudi 09 juin 2016
Francis
Wathier signe à Laval pour 3
ans!
Laval, le 9 juin
2016 - La direction des
Prédateurs de Laval confirme le
retour du vétéran Francis
Wathier au sein de l’alignement
pour la prochaine saison. En
fait, les Prédateurs de Laval
ont conclu une entente de 3 ans
avec leur joueur vedette.
À
la fin de la saison dernière,
Francis avait déjà signifié son
intention de revenir au moins
une autre saison à Laval. Le
vétéran de 31 ans a enregistré
33 points en 34 parties avec les
Prédateurs, terminant au 4 ième
rang des pointeurs de l’équipe.
Employé tantôt à l’attaque,
tantôt à la défensive, il avait
su stabiliser la ligne bleue
lorsque l’équipe éprouvait un
manque criant de joueurs à cette
position.
Le «cowboy» est rapidement
devenu un des joueurs les plus
respecté de la LNAH. Sans avoir
à jeter les mitaines, son
imposant gabarit (6’4’’) et ses
violentes mises en échec faisant
résonner les bandes du Colisée
Laval en ont rapidement fait un
favori de la Pred’s nation. Lors
des dernières séries
éliminatoires, il avait su
élever son jeu d’un cran afin de
s’imposer à chacune de ses
présences.
Il faut se rappeler que Francis
Wathier ne sachant trop à quoi
s’attendre à son arrivée à
Laval, avait rapidement été
surpris par le calibre de jeu et
conquis par l’ambiance régnant
chez les Prédateurs de Laval.
Francis Wathier s’est porté
acquéreur d’une franchise de «Perfect
skating», une entreprise misant
sur le développement des
habiletés des joueurs de hockey.
Les formations sont offertes
autant aux individus qu’aux
groupes ou équipes. De plus,
Francis suit présentement une
formation pour devenir pompier
et entrevoit la prochaine saison
comme étant celle des Prédateurs
de Laval.
«On a
un super noyau de joueurs.
Beaucoup de talent et une gang
incroyable. Il nous en manquait
peu la saison dernière. Cette
année, tout le monde est déjà
primé et on sait exactement à
quoi s’attendre en tant
qu’équipe. J’ai déjà extrêmement
hâte de recommencer. Je suis on
ne peut plus fier de revenir
avec cette équipe pour les trois
prochaines années!»,
disait Wathier.
Source : Nicolas Pelletier |