samedi 21 janvier 2017
Trop peu trop
tard pour les Marquis
Alors que le Cool
FM de St-Georges s’amenait à
Jonquière pour un troisième
affrontement durant la présente
campagne, c’est devant 1936
spectateurs jonquiérois que les
visiteurs sont repartis avec une
victoire par la marque de 5 à 3.
Loïc Lacasse prenait le départ
devant le filet face à Mathieu
Dugas du côté adverse. Yann
Poirier était de l’alignement
alors que Simon Tremblay, Samuel
Groulx et Maxime Sauvé n’étaient
pas présents.
En première période, Saha
Pokulok marquait en désavantage,
suivi de Patrick Lapostolle qui
enfilait le deuxième des siens.
L’équipe de Dean Lygitsakos
retournait donc au vestiaire
avec une avance de deux buts.
Au deuxième vingt, Yannick Tifu
marquait le troisième des siens
et envoyait Cédrick Desjardins
en remplacement dans le filet.
Tommy Veilleux venait en
rajouter en portant le pointage
à 4 à 0. Même si certains ont pu
croire que le match était
terminé, ce n’était pas le cas
de la troupe de Richard Martel
qui a continué de bourdonner
dans la zone offensive. Un total
de 16 tirs aura été générés de
la part des verts, sans compter
le nombre de tirs bloqués par
les défenseurs beaucerons. C’est
finalement Christian Ouellet qui
trouvait le fond du filet avec
un peu plus de 2 minutes à faire
dans cette période. Alexandre
Quesnel et Danick Malouin
récoltaient les mentions
d’assistance.
En troisième période, Christian
Ouellet marquait 2 buts pour
compléter son tour du chapeau et
réduisait l’écart à un seul but.
Stefan Chaput récoltait 2 passes
et Jean-Michel Bolduc en
obtenait une. Éric Bertrand
venait gâcher la fête en
inscrivant le cinquième des
siens dans un filet désert.
« On a
donné 2 mauvais buts en partant,
ils ont joué le système à Guy
Boucher, 1-3-1, dans les années
qu’il jouait. C’est certain que
tu peux conserver une avance de
2-0 quand tu attends sur la
ligne rouge, presque bleue en
fait, mais on a eu beaucoup de
chances on a manqué
d’opportunistes. Christian a
trois buts ce soir, mais il n’y
en a pas d’autres qui ont réussi
à marquer. Il fallait amener une
étincelle, alors j’ai remis
Ouellet-Chaput-Quesnel ensemble.
On n’a pas lancé assez, c’est
nous-même qui s’est battu un
peu. On réussissait à entrer
dans la zone quand même, on
gagnait nos bagarres, mais on
n’arrivait pas à aller en avant
du filet »,
mentionnait Richard Martel.
Carol-Ann
Faubert, relationniste |